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Georg Fromm était des plus labile lorsqu’il nous a reçu chez lui. A l’aise, dans ses vignes, l’homme a tenu un long discours en Allemand sur ses convictions de vigneron, sa philosophie, ses « wineries », ici et en Nouvelle-Zélande. Je l’avoue, j’ai décroché assez rapidement lors de cette causette. L’endroit respirait le bonheur à l’état pur. Je ne pouvais rester insensible aux parfums des fleurs, aux couleurs de cette nature, et aussi, à l’impression d’avoir déjà connu un endroit tel que celui-ci alors que j’étais enfant. Des réminiscences d’un paradis en quelque sorte qui m’appelaient à elles.

Georg Fromm

Andreas Keller, journaliste, membre de la MDVS.

Joli carnotzet, mais nous dégusterons sous l’auvent. Pourquoi vouloir s’installer en intérieur alors que nous bénéficions d’un temps estival ?

Le style des vins m’est paru peu évident à cerner. Un chardonnay provenait de Malans, l’autre de Malborough. J’ai peut-être préféré le vin néo-zélandais en ce vendredi. Du côté des pinots noirs, c’est encore plus difficile, car je n’ai pas retrouvé le toucher de bouche soyeux des vins dégustés chez Donatsch. Les vins étaient austères, tendus. A revoir pour réussir à mieux comprendre.

Le pain aux poires de la Bündnerherrschaft : hum, bien aimé !

Weingut Fromm & Fromm Winery

Laurent