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Visite en octobre 2005 :

Une feuillette (posée sur un bureau de la salle d’exposition.
J’ai passé ma journée en Valais, mardi dernier le 25 octobre 2005, pour prendre des photos du vignoble, et lancer la préparation d’un week-end de dégustation en Valais dans quelques mois (Rencontre Avec les Vins du Valais2).
Au hasard de ma route, je suis passé devant une ébenisterie qui s’est avérée être une tonnellerie. J’y suis rentré par curiosité, et j’ai été reçu par la directrice. Je suis resté une heure et demie à observer, discuter, photographier et toucher des barriques de merrain carrées.
Atmosphère curieuse, car l’objet étonne par sa forme, il plait aussi (recyclage possible du bois en parquet). Gain de place évident, la manutention est-elle par contre aussi aisée qu’avec un fût cylindrique ? La réponse dépendra peut-être aussi des installations de la cave.
Les barriques qui s’empilent aisément sur trois niveaux de hauteur.
L’idée est née en Valais, elle a germé dans l’esprit d’un géo-trouvetout local, et a été reprise par Madame Roux (la directrice) et son mari, qui croient durs comme …fer à l’avenir de cette invention. Le brûlage des planches est reproductible à l’envi, et ne nécessite pas de flammes !
Atmosphère curieuse, car le carnet de commandes semble peu rempli, le hangar d’expédition est au mieux rempli à sa moitié. J’ai photographié des ateliers vides de leur personnel. Au plus ai-je croisé une jeune femme, qui serait la seule femme tonnelière formée en France, elle aurait travaillé du côté de Meursault (chez Damy ?) un temps.


Photo du haut : la poignée externe du système de mise en suspension des lies.
Photo du bas : le rateau de mise en suspension des lies
 
Les curieux, les intéressés, trouveront certainement des informations complètes sur le site Internet de cette tonnellerie bien dans le XXIe siècle : www.cyboxsa.ch
 
Laurent